Souvenirs (Libre)

Nous étions à une période que Leonela adoré ; l'hiver. Il y avait les tempêtes de neige, le froid, le vent etc. Entre deux rafales de vents, la brunette sortit de chez elle et prit aucune direction précise. Elle verrait bien où elle irait. Marchant d'un bon pas, tête baissée. Elle rentra dans pas mal de personnes, s'excusant pour rien au monde. Après quelques minutes de marche, elle distingua le clapotis de la mer et les fracas lorsque celle-ci se brisait sur les rochers. L'odeur salée lui chatouilla les narines. Elle était sur la plage. La jeune fille laissa échapper un rire et regarda l'horizon, c'était plutôt calme pour une journée qui avait débuté avec de grosse rafale de vent. Elle n'avait pas du tout froid, malgré son petit tee-shirt et sa jupe. Elle était habillée comme en été, mais sa ne la dérangeais pas, après tout elle avait tout le temps chaud. Encore un truc de loup-garou ! Elle s'assit dans le sable froid et ferma les yeux, laissant les souvenirs vagabonder dans son esprit.

Elle fut interrompue par un manque de soleil. Elle rouvrit les yeux, devant elle se trouvait un inconnu, qui la dévisageait.

« Tu n’as pas froid ? »

Un garçon se tenait devant elle. Il était assez petit. Heureuse de voir quelqu'un de plus petit qu'elle, Leonela sourit. Continuant son analyse, il avait des cheveux blonds et des yeux vert. Son regard se posa sur son pull en laine. Il devait avoir chaud lui ! Il ne paraissait pas timide, étant donné qu'il lui parla d'un ton que Leonela n'aima pas trop. Mais pour qui il se prenait lui alors ?! C'est vrai qu'on pouvait avoir des doutes sur la brunette, car s'habiller en tenu si légère alors qu'il faisait surement 2° degrés à l'extérieur, devait interroger toutes personnes s'étant trouvés là ! Haussant les épaules elle lui répondit d'un ton opposé à celui qu'avait employé le garçon, calme et détendu elle lui répliqua :

- Merci, mais je vais très bien. Il ne fait pas si froid que ça tu sais ! Je ne voudrais pas paraitre impolie, mais tu me gaches le soleil !

Et elle lui offrit son plus beau sourire.

Toujours venu de nul part Akuma arriva brusquement et dit d' un premier temps a sa consoeur loup.

Si tu n' as pas froid. Pourquoi tu veux le soleil ?

En un second temps il dit à l' humain dont il ignorait le nom.

Pourquoi aurait-elle froid de toutes manières ?

Akuma savait très bien qu' il était bizzare d' arrivait toujours de n' importe où mais il amait ca. Il aimait aussi courrir en humain comme en loup dans des zones très grandes voire infinies. Lors de sa course il vite deux ombres et écouta toute leur conversation sans vraiment la distinguer.

Vous ne parlez plus ?

Géné comme d' habitude Akuma se sentit seul et attendait une réponse de l' humain comme de la Louve.
Hésitant et seul Akuma recula et partit quelques centaines de mètres plus loin.

Viendront-ils me parler ? Où même me regarder ? pensa-t-il.

Il attendrait et sans limite de temps. Aprés tout il avait l' étérnitée devant lui.

Arthus marchait sur la plage sans but précis. Depuis quelque jours il ne rentrait plus chez lui ou alors rarement ; parce qu'a chaque fois qu'il partait, a son retour sa tante lui faisait subir un interrogatoire digne des plus grands policier de toute la cote Ouest !.... En même temps, il partait parfois pour plusieurs heure sans donner signe de vie, mais bon, il était comme ça, Personne n'est parfait ! A vrai dire ses excursions n'était pas des plus pacifistes, il découvrait sa nouvelle forme beaucoup performante que sa médiocre forme humaine !

Il se posait énormément de question sur ces transformation, Auraient-elles une répercussion sur son corps d'humain ? Pouvait-il rester des heures et des heures en loups ? Est ce que....
Arthus entendit des voix qui le tira de sa réflexion, il vit a quelque mètre de là 2 individus parlant de la froidure mordante de l'hiver, la jeune fille n'était vêtue que d'une jupe et d'un T-shirt, elle était fort petite mais l'homme était encore plus petit que la brune, ses cheveux blond virevoltait au grès du vent ; bizarrement lui non plus n'avait pas froid, un de ses autres dons ? Il n'avait pas non plus remarqué qu'un homme plutôt antipathique se tenait a l'écart, il portait sur son visage une monstrueuse balafre qui ne faisait qu' amplifié son air sinistre.

Les jeunes gens ne semblait l'avoir remarqué, Il s'arrêta et huma l'air "deux de ces trois personnes sont des loups, la jeune fille par sa petite tenue doit en être une et certainement le balafré aussi "
Il recula et observa les personnes " Il y a bien du monde sur cette plage aujourd'hui ! habituellement il n'y a personne...." Il s'assit sur un tronc et attendit.

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